Discussion avec Christophe Violland

Tout d’abord, d’origine toulousaine, j’ai commencé à entendre parler de Christophe Violland aux alentours de 1998. À cette époque, Christophe avait déjà une solide réputation sur la région toulousaine et jouait dans un groupe de funk avec le trompettiste Fred Huertas. C’est lui même qui m’en a parlé la première fois. On était jeune, l’avenir était devant et nous étions avares de rencontres musicales.

Une des premières fois où l’on s’est croisé était à la fête à Mauguio, alors qu’il jouait avec l’orchestre Thierry Tacinelli. Nous avons fini tard ce soir-là, buvant des verres sur la place tout en disant d’énormes bêtises. J’en garde un souvenir fort agréable.

Depuis, du temps s’est écoulé, 20 ans en gros… Au début des années 2000, il monte à Paris pour étudier à l’IACP des frères Belmondo et restera ensuite à la capitale à la fin de son cursus.

Né en 1976, il est aujourd’hui un artiste complet pratiquant la photo et la peinture en plus de la musique.

Ceux d’entre vous qui suivent ma chaîne et qui ont pu voir les quelques vidéos de Christophe auxquelles j’ai participé, savent qu’il écrit ou arrange la plupart du temps pour de grandes formations.

Grâce à son oreille absolue, il fait partie de ceux qui sont capables de composer et d’arranger de la musique à l’arrière d’un bus ou dans une arrière-cuisine sans aucun support audio ou musical.

Découvrons aujourd’hui l’extraterrestre qu’est Christophe Violland.